La lettre de l'Observatoire du wokisme - 28 mai 2025
Cette semaine, retour sur quatre actualités liées aux dérives woke : Queer Palm militante, Jaguar piégée par le wokisme, bar communautaire à Paris, CPAM condamnée pour discrimination.
Cannes en terrain woke : la Queer Palm comme symptôme
La Queer Palm, récompense soutenue par les institutions culturelles françaises, symbolise parfaitement la dérive woke du Festival de Cannes. Cette année, La Petite Dernière d’Hafsia Herzi coche toutes les cases du cinéma militant : spiritualité islamique, identité queer et remise en cause des « normes patriarcales ». Une preuve de plus que l’idéologie prime désormais sur l’art.
Le Bunker : un bar « queer et racisé » au cœur de Paris, nouvelle vitrine du wokisme
En avril dernier, le 17e arrondissement de Paris a vu l'ouverture du « Bunker », un bar destiné à la jeunesse queer issue des minorités ethniques, affichant clairement une ligne militante : drag shows, DJ sets afrobeats, et événements « décoloniaux ». Des avis Google mentionnent des accusations de discrimination à l’entrée envers des personnes blanches, auxquelles la direction répond en évoquant une priorité donnée à la « sécurité et au bien-être des communautés queer et racisées ». Une initiative révélatrice une fois de plus des dérives communautaristes du wokisme.
Jaguar : Retour forcé à la raison après l’échec d’un virage woke
Face à l’échec spectaculaire de sa campagne publicitaire « Copy Nothing », Jaguar est forcée de revenir aux fondamentaux du luxe après avoir tenté un virage woke aux côtés de l’agence militante Accenture Song. Résultat : des ventes en chute libre et une marque désorientée. Jaguar peut-elle renouer avec l’élégance et le prestige qui ont fait son succès ? Plongée au cœur d’un fiasco marketing révélateur des limites du wokisme imposé aux entreprises.
Assurance maladie : la CPAM condamnée pour avoir exigé des justificatifs médicaux dans une procédure de transition de genre
La CPAM du Bas-Rhin vient d’être condamnée à rembourser une opération de transition de genre après avoir exigé des justificatifs médicaux jugés discriminatoires par le tribunal de Strasbourg. Une décision inédite en France, qui pourrait faire jurisprudence dans plusieurs affaires similaires en cours. Mais derrière ce jugement se dessine une inquiétante dérive : la médecine risque-t-elle d’être désormais guidée par des critères idéologiques plutôt que médicaux ? Découvrez comment cette affaire pourrait bouleverser le principe d’égalité devant les soins.